La dyspraxie. Etat de la connaissance et recommandations pour l'inclusion et l'intervention

Dernière mise à jour le 17 juin 2020

Le lundi 12 novembre, l'UER Pédagogie spécialisée vous propose de faire un point sur l'état de la connaissance sur la dyspraxie ainsi que les recommandations pour l'inclusion et l'intervention qui y sont liées.

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Cette conférence présente les connaissances récentes et scientifiquement fondées sur la dyspraxie ou le trouble développemental de la coordination (TDC) qui affecte la réalisation des activités de certains enfants que ce soit à l’école, à la maison ou durant les loisirs. Si les causes ne sont pas encore bien établies, un certain nombre de facteurs de risque sont connus (ex.: prématurité…) d’autres restant encore à objectiver (ex. : augmentation de la durée passée devant des écrans…). Les enfants avec un TDC doivent bénéficier d’une intervention thérapeutique et/ou éducative selon les recommandations européennes sur le TDC; ce handicap invisible peut en effet avoir des conséquences importantes sur la qualité de vie de l’enfant s’il n’est pas détecté et si des mesures ne sont pas mises en place pour le soutenir.

Marie-Laure Kaiser en quelques mots

Marie-Laure Kaiser, actuelle Directrice de la Haute École de Santé de Genève, a été cheffe du service d’ergothérapie du CHUV pendant 10 ans et professeure à la Haute École de Travail Social et de Santé de Lausanne. Son champ d’expertise concerne, entre autres, l’écriture manuelle, le TDC-Trouble développemental de la coordination (dyspraxie) et l’efficacité des interventions auprès des enfants porteurs de ce trouble. L’INSERM a notamment fait appel à elle pour participer à l’expertise collective sur la dyspraxie qui devrait paraitre à la fin de l’année 2018.