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Un programme réaménagé pour laisser la meilleure place au dialogue

Dernière mise à jour le 6 juin 2013

Deux questions inédites ont été soulevées au moment d'établir le programme définitif du 12e colloque de l’Association internationale pour la Recherche en Didactique du Français (AiRDF).

L'organisation des thèmes a été aménagée de sorte que les différents acteurs de la recherche puissent œuvrer à des fins communes, malgré la différence de support et d'approche.

Cinq axes retenus au départ

Lors de l’appel à communications, les chercheuses et chercheurs ont parfaitement répondu aux consignes et ils ont donc placé leur projet dans l’un des cinq axes retenus, à savoir:

  • Logiciels & outils, épistémique,
  • Pratiques d’enseignement,
  • Apprentissages,
  • Formation professionnelle,
  • Concepts, épistémologie,

ou ils ont choisi l’axe Varia qui avait été créé pour permettre aux membres de l’AiRDF n’ayant que peu d’intérêt pour le thème du français à l’ère informatique de participer activement à la rencontre trisannuelle.

De fortes disproportions entre les axes choisis

Cependant, au moment d’établir le programme, deux questions inédites ont surgi. La première est née du constat que les cinq axes spécialisés ont été très inégalement choisis: s’il était attendu que les axes «Pratiques d’enseignement» et «Apprentissages» soient plébiscités, la disproportion est forte avec les trois autres axes: les deux premiers (pratiques et apprentissages) ont été environ trois fois plus choisis que les trois autres ensemble (logiciels & outils, formation, épistémologie).

La seconde question a relevé d’un autre ordre: stratégique et politique. Fallait-il isoler les Varia ou les intégrer dans le programme principal? Les tenir à part, n’était-ce pas créer un «colloque dans le colloque»? Et ce colloque séparé en serait-il même vraiment un, puisque, par nature, les Varia sont forcément singulières? Enfin, si l’on comprend que le thème du français à l’ère de l’informatique peut légitimement paraitre secondaire à des collègues, leur isolement dans un groupe Varia n’est assurément pas le meilleur moyen de les rapprocher de cette thématique.

La réorganisation du programme

Dans le souci de voir les différents acteurs de la recherche œuvrer à des fins communes, malgré des différences de support ou d’approche, malgré ou en dépit du critère «numérique»: le programme n’est donc plus organisé par les axes de l’appel et la section Varia n’est pas séparée des autres.

Donner les meilleures conditions de dialogue et d'échanges

Les communications sont d’abord réparties selon les principaux thèmes et champs disciplinaires traditionnels du français: le «lire-écrire-parler», la «structuration/orthographe», la «littérature» et le «français langue étrangère (FLE)»; à ces thèmes, s’ajoutent les domaines de la «formation des enseignants» et du «contexte d’apprentissage». Afin que ce premier succès, quantitatif, puisse se confirmer par la qualité, le CO a la responsabilité de proposer aux participantes et participants les meilleures conditions de dialogue, d’échanges.

Le principe qui a donc été retenu pour établir le programme est le suivant: souffrir d’ouvrir davantage d’ateliers en parallèle pour pouvoir accorder à chaque communication le plus de temps possible.

Dans les faits, 6 à 7 ateliers seront ouverts en parallèle afin que chaque communicante et communicant dispose, exposé et échanges compris, non pas des classiques et sévères 30 minutes, mais de 45 minutes. Dérisoire en absolu, ce quart d’heure supplémentaire devrait desserrer la pression de la montre et ralentir la cadence fordienne des présentations. Concrètement, les communicants peuvent penser une intervention de 30 à 35 minutes au maximum, pour laisser un temps de dialogue de 10 minutes.

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