HEP VAUD
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Expositions durant l'année 2016

Dernière mise à jour le 2 novembre 2018

L’art à l’œuvre dans son nouvel écrin avec l’Atelier de Saint-Prex

L’Unité d’enseignement et de recherche des didactiques de l’art et de la technologie de la HEP Vaud met à l’honneur les gravures de «Pietro Sarto et l’Atelier de Saint-Prex». Cette exposition est également l’occasion d’inaugurer un nouvel espace de médiation artistique à l’issue d’importants travaux de réhabilitation. Par leur exemplarité, les travaux exposés des artistes de l’Atelier de Saint-Prex sont riches de potentialités, l’espace de médiation du 6e leur permet de faire oeuvre auprès des enseignants et des élèves!

L'art à l'oeuvre dans son nouvel écrin

Jean Mohr: exposition Regard sur l'accueil de l'autre

La HEP Vaud, en collaboration avec le Musée de l’Immigration, à Lausanne, laisse parler le regard des migrants. C’était il y a quelques dizaines d’années, en Suisse. Mais les visages de la migration, mouvement de flux et de reflux qui suit l’histoire des hommes, sont de tous les temps, passé, présent, futur, sans frontières entre l’ici et l’ailleurs. Les images exposées sont tirées du patrimoine du Musée de l’immigration. Elles sont signées du grand photographe, Jean Mohr, né en 1925 à Genève, Suisse d’origine allemande. Avec sa famille, très hostile à Hitler, il est naturalisé en 1939, juste avant la guerre.

Exposition: Regard sur l'accueil de l'autre

Synergie: exposition de Nathan Weber

Nathan Weber est un jeune photographe romand. Après quelque temps passé à l’école de photographie de Vevey, il décide de se mettre à son compte pour exercer sa photographie sans contrainte. Il explique: «l’unité de recherche et d’enseignement d’éducation physique de la HEP m’a laissé carte blanche pour illustrer la formation. Le partage et l’esprit d’équipe m’ont semblé être l’un des piliers de cette unité. C’est pour cela que j’ai tenu à ce que ces éléments soient au coeur de mes images».

Exposition: Synergie de Nathan Weber

L'art à l'épreuve de la ville

L’exposition propose de questionner la pratique artistique dans l’environnement urbain en terme de pédagogie. Comment créons-nous un lien avec l’espace urbain par les moyens de l’art et en quoi certaines démarches artistiques activent-elles une forme de réappropriation de l’environnement commun? Il s’agit donc bien de souligner l’importance des arts et de la médiation artistique dans la constitution d’une participation active des usagers et des habitants d’une ville.

L'art à l'épreuve de la ville

L'art à l'oeuvre: Roms, la quête infatigable du paradis

Que ce soit dû à la stigmatisation des Roms par les médias, aux différences culturelles ou à la sensibilité personnelle, leur présence dans les rues de Lausanne en fait jaser plus d’un et détourner le regard à bon nombre d’autres. Mais que savons-nous d’eux, en fait? Si Yves Leresche ne se propose pas de répondre à cette question, il nous donne la possibilité d’en savoir, ou d’en percevoir plus. Des bois du Chalet à Gobet jusqu’en Roumanie, ces photographies et ces récits sont des bouts de chemin et des bribes de vie qu’Yves Leresche a partagés avec eux, et qu’il partage maintenant avec nous.

L'art à l'oeuvre: Roms, la quête infatigable du paradis

Le Rouge-gorge: une aquarelle de Jacques Rime

Peintre et dessinateur animalier, Jacques Rime observe la nature et les animaux depuis plus de 40 ans. Sa collaboration au magazine «La Salamandre» dont il illustre les articles depuis plusieurs années témoigne bien de sa passion. Cette œuvre représente bien l’attitude de l’artiste: observer, être à l’affût, et s’émerveiller de tout. Ici, chaque élément est observé et représenté avec attention, que ce soit les ombres sur la neige, la mousse des rochers ou le rouge-gorge. Chacun à son importance et l’on sent le souci de rendre au plus proche les diverses matières: écorce, roche, neige molle.

Jacques Rime: le rouge-gorge

De la Neva au Léman, deux peintres passionnément

Un couple, une même passion: la peinture. Voici les sublimes ingrédients dont le subtil mélange a donné naissance à la prochaine exposition de l'Espace Points de suspension à la HEP Vaud. S’il fallait résumer d’un trait ce couple d’artistes, on pourrait dire qu’ils ont en commun une passion sans limites de la peinture et cette force particulière d’emporter le regard d’un seul coup, jusqu’aux tréfonds de leurs deux univers.

De la Neva au Léman

Art à l'oeuvre: les vibrations par l'abstraction géométrique

Quatre lithographies de Stéphane Dafflon, artiste lausannois, sont exposées par l'Art à l'œuvre au mois de mars. Son travail entretient d'étroits liens avec le graphisme et le design, ses dessins changent même de support pour devenir motifs sur les tapis de l'Atelier Pfister. Lorsque Stéphane Dafflon débute ses études d'art, l'abstraction géométrique a déjà fait ses preuves et se retrouve dans les différents champs des arts appliqués ainsi que dans notre culture visuelle quotidienne. C'est de ces codes et de son quotidien que part l'artiste pour en proposer une relecture sous différentes formes d'une simplicité et d'un lissé élégants.

Art à l'oeuvre: les vibrations de l'abstraction géométrique

Arbo’Ville une exposition-hommage à la nature urbaine

«On voyage autour du monde à la recherche de quelque chose et on rentre chez soi pour le trouver», a écrit George Moore il y a près d’un siècle. Il avait bien raison: ce «quelque chose», c'est à Lausanne que Patricia Laguerre l’a déniché. Il se trouvait sous ses yeux: c’est l’arbre des villes. Arbo’Ville est une exposition pour dire à d’autres ce que lui disent les arbres de leur défi quotidien: faire vie commune avec l’homme. Pour honorer ces géants secrets, Patricia Laguerre a photographié leurs reflets, comme autant de masques ou de révélateurs magnifiant un élément de la ville. Un échange inédit s’est instauré entre éléments naturels, hommes et architecture.

Exposition: Arbo'Ville

L'art à l'oeuvre au fil de l'eau

Barbara Meyer Cesta, artiste biennoise, tente de transposer dans un médium complètement rigide l’énergie de l’eau d’une cascade. Elle s’appuie simultanément sur des photographies de cascades, des centaines d’images récupérées sur le réseau internet et des oeuvres de deux artistes japonais du XIXème siècle, Utagawa Hiroshige et Katsushika Hokusaï. À partir de ses multiples recherches, BMC fait un inventaire des empreintes de l’eau dans un espace donné et restitue ainsi une série d’images figées de l’eau.

L'art à l'oeuvre au fil de l'eau

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